Nous qui ne sommes que des loca-Terres depuis la nuit des temps Prenons bien garde dès à présent,de ne pas nous croire propriétaires ...
Si nos enfants, nos petits enfants pouvaient garder les yeux ouverts, laissons-leur au moins un océan, trois arbres et deux rivières... (début de la chanson Pauvre Planète)
Je vous transmet un « Message de l’Ours (animal totem du Québec) à la patte dressée » :
« Ne fermez pas les yeux, n’acceptez pas ce que les hommes font au monde des animaux et retirez-vous de cela. N’y soyez pas associés de près ou de loin. Redressez-vous et montrez que vous pouvez vous défendre si l’on touche à votre petit frère et à votre petite sœur ».
Extrait du livre:« Le chemin du bonheur » Éditions Essénia
Le gouvernement britannique vient de donner son feu vert à l'utilisation de semences dangereuses pour les abeilles.
L'UE restreint depuis 2013 l'utilisation des néonicotinoïdes ou «néonics», les insecticides les plus utilisés dans le monde, parce qu'ils présentent un «risque élevé» pour les abeilles. Leur utilisation est encore permise sur certaines cultures, mais pas sur celles qui attirent les abeilles durant la floraison.
Des études scientifiques ont démontré que les agents neurotoxiques nuisent sérieusement aux abeilles, essentielles a la pollinisation de plusieurs cultures. Ils mettent en péril toute notre agriculture, donc toute notre alimentation.
Même si les pesticides tuant les abeilles ont été bannis au Royaume-Uni, le gouvernement vient de donner la permission aux agriculteurs et agricultrices de planter des semences dont l'enrobage est toxique. D'un jour à l'autre seront plantées les semences toxiques de Bayer et Syngenta, causant encore plus de chaos dans les colonies d'abeilles.
Il n'y a pas que les abeilles qui sont en danger. Une étude accablante liait l'an dernier les néonics au déclin non seulement des populations d'abeilles, mais aussi d'oiseaux. Les néonics mettent en danger 93% des oiseaux étudiés, incluant des hirondelles rustiques, des moineaux friquets, des étourneaux sansonnets et diverses espèces de fauvettes. L'industrie agro-chimique essaient de nous faire croire que ses produits sont sécuritaires, mais les données scientifiques ne cessent de nous indiquer qu'il faut interdire les néonics pour sauver les abeilles.
Plutôt que de nous écouter, le gouvernement a prêté l'oreille à l'industrie agroalimentaire, faisant fi des études qui s'accumulent sur les dangers que posent ces produits chimiques pour les abeilles et les autres pollinisateurs.
Signez dès maintenant la pétition que nous adressons au gouvernement britannique: cessez de laisser les abeilles mourir, interdisez les pesticides!
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